…« une musique douce qui associe les timbres rares du théorbe, de la harpe, de la viole, de l’accordéon et de la flûte japonaise shakuhachi … On est sous le charme de ce spectacle unique. Le Festival d’Ile-de-France fut bien inspiré de nous offrir cette Muse à la lisière du merveilleux. » Franck Mallet / Le Monde de la Musique « tout à coup, un son s’élève, un seul, pur, irréel, dont nul ne saurait dire s’il l’a entendu ou rêvé. On n’en voit pas la source, il s’est déjà éteint. Ces quelques instants ont suffi à vous souffler à l’oreille que l’élément primordial de cette musique est l’espace…l’espace à parcourir…l’espace entre les sons… » Janine Matillon / La Quinzaine littéraire " Dans cette atmosphère propice au recueillement, les visiteurs suivent l'imaginaire de Claire Renard les yeux fermés…. Lancée sur les pistes polymorphes d'une langue inintelligible, l'oreille apprend avec La musique des mémoires à faire l'écoute buissonnière sur un terrain sonore particulier à chaque ville …» Pierre Gervasoni / Le Monde " La très belle et sobre scénographie d'Esa Vesmanen invente un climat de l'entre-deux, où ni ombre, ni lumière ne viennent perturber l'intimité du spectateur." Omer Corlaix / Musica Falsa « Les notions d’espace et de perception sont au cœur de la recherche de Claire Renard, compositeur (…) Cette attention au réel (…) devient alors un formidable sujet de méditation sur « l’expérience du temps ». Franck Mallet / Artpress « C'est vraiment un travail très original et qui nous interroge particulièrement sur la place de l'art musical dans nos vies... On est dans un moment historique de la musique… David Jisse / France Culture « Plutôt que de réalisme, je parlerai de surréalisme, dans La musique des mémoires... Et c’est troublant, parce qu'on ne sait plus ce qu'est le dedans, le dehors, où est l'imaginaire, où est la réalité » Omer Corlaix / France Culture « …Claire Renard a contribué à l’introduction de l’art des installations sonores en France. Dans La musique des mémoires (2000), elle se livre, selon son expression à une « expérience plastique du son et de la mémoire ». Elle a également réalisé des pièces en forme de « concert -promenade », un concept à mi-chemin entre le concert et l’installation.. On citera La muse en son jardin ou l’esprit des lieux… Makis Solomos / De la musique au son « ..un collier de perles de tendres atmosphères, de « flashs » sonores, où l’auditeur se laisse prendre par une douce nostalgie … » Matti Ripatti / Helsinki Sanomat
« une carte acoustique créée avec tendresse et sensibilité… » Margarita Pournara / Herald Tribune / I Kathimerini /
Relever le défi de dénoncer et de faire œuvre coûte que coûte. C’est cette sensibilité qui opère dans Orimita (2013) … L’émotion affleure par touches précises et douces en même temps que nous est donnée à saisir une part de notre monde, ses conflits et ses atrocités. Geneviève Mathon, musicologue
« Ici (Chambre du Temps), c’est la lumière qui invite à la douceur. …. un cargo au loin, une femme qui chuchote en s’avançant, et, sur les bords d’une pièce transparente, des transats proposent une croisière statique et intemporelle. On s’allonge, de petits écouteurs cachés diffusent les murmures de l’eau. Hauviette Bethemont / La Tribune de Lyon « ….Sa musique (Claire Renard) est faite autant de sons que de silences, dans une grande variété de nuances (…) C’est une musique qui force l’écoute, en laissant toute la place à l’imaginaire de l’auditeur. » James Giroudon / Bloc-Notes « …Enfin une musique qui vient de l’intime, du silence de l’intime, et qui, tout naturellement, s’adresse à nous, en ce lieu où l’on aime à se retirer, là où coule la source, le murmure de la source … Charles Juliet à propos de Brèves d’Eté |